Vous êtes victime d'un accident médical ?
Vous pensez être victime d’une faute commise par un médecin (d’une erreur médicale), d’une infection nosocomiale (infection liée aux soins) ou subir les conséquences d’un aléa thérapeutique.
Faites-vous accompagner par un avocat spécialiste en droit du dommage corporel pour faire valoir vos droits.
Faire appel à un avocat pour être indemnisé d’un accident médical
Si vous pensez être victime d’un accident médical fautif (erreur médicale), d’une infection nosocomiale ou d’un accident médical non fautif (aléa thérapeutique), il est primordial de faire appel à un avocat spécialiste en droit du dommage corporel.
L'avocat, spécialiste en droit du dommage corporel, déterminera, en s’entourant des meilleurs médecins-conseil de victimes, les responsabilités des différents acteurs impliqués dans l'accident médical.
Il portera l’affaire devant un expert indépendant (expert judiciaire ou désigné par la commission de Conciliation et d'Indemnisation des Accidents Médicaux des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales(CCI) compétente) et défendra, devant cet expert, son analyse aux côtés de son médecin-conseil.
La victime se trouve ainsi à armes égales face aux assureurs des professionnels de santé et à l’office national d’indemnisation des accidents médicaux (l’ONIAM).
A l’issue du dépôt du rapport d’expertise, l’avocat spécialiste en droit du dommage corporel, met en œuvre les procédures amiables ou judiciaires pour obtenir l’indemnisation de vos préjudices.
Maître Sophie KERZERHO vous assistera dans l’ensemble de ces démarches quelque soit la nature de l’accident médical (ex : acte chirurgical inadapté ou injustifié, manquement à l’obligation d’information du professionnel de santé, infection nosocomiale, retard de diagnostic).
Avocate spécialisée dans les accidents médicaux obstétriques et gynécologiques.
Elle a acquis, au fil de son parcours, une compétence pointue dans ces affaires de responsabilité médicale.
Elle a notamment défendu des victimes de fautes commises par les professionnels de santé lors du suivi de la grossesse et de l’accouchement (ex : césariennes tardives, retard à l’extraction fœtale, manœuvres obstétricales inadaptées, maladressse dans l’utilisation des forceps, absence de diagnostic in utero de malformations cardiaques, prise en charge inadaptée d’une hémorragie de la délivrance ou d’une infection materno-fœtale, administration fautive de Cytotec).